Chacune des expositions vaut la visite, elles sont aussi étonnantes l’une que l’autre dans un genre différent.
On a l’impression qu’Eugen Gabritschevsky ne pouvait vraiment pas s’empêcher de dessiner et peindre sans arrêt, surtout des gouaches et aquarelles dans les années 1940-1950, des centaines et toutes si différentes, étranges. On a l’impression d’être dans ses toiles, presque dans sa tête.
Par comparaison, l’exposition de Nicolas Darrot nous ferait revenir sur terre et pourtant, quelle étrangeté aussi ! Des sculptures mixtes intégrant souvent des insectes et de la technique et des installations très expressives comme les marionnettes jouant aux humains. Bizarre, dérangeant ou drôle, c’est selon…