Dès le début de l’expo, on est immédiatement frappé par l’atmosphère énigmatique qui émane de ces tableaux. Des intérieurs sobres et dépouillés où il n’y a presque rien.
Les personnages où il n’y pas d’action ni d’expression. Souvent vus de dos mais il se dégage de ce vide intérieur un charme mélancolique.
On regarde, on écoute le silence. Chaque toile laisse songeur dans des nuances de gris et blanc qui invitent à la solitude.
Peintre poète qui se regarde en silence…