Au Centre Pompidou, j’ai visité l’exposition de la collection d’art russe de la fin des années 50 à 2000 (Kollektsia !). Très intéressant de découvrir des artistes contemporains, en URSS puis Russie : un art riche et divers… en marge du cadre officiel. Entre autres artistes, j’ai beaucoup remarqué et aimé les oeuvres, peintures, dessins, poèmes, vidéos de Dmitri Prigov.
Et, malgré la diversité des oeuvres de cette exposition, on a une impression de « fil rouge », de quasi cohérence.
Je n’en dirai pas autant de l’autre exposition constituée également d’une collection (une partie de la collection qui fait l’objet d’une promesse de don au Centre Pompidou), celle de Thea Westreich Wagner et Ethan Wagner. Il y a des oeuvres audacieuses, ironiques, « superbes », pour d’autres, on se pose la question « mais pourquoi ont-ils choisi, acheté cette oeuvre ? » et derrière moi, j’entends une voix « on trouve vraiment de tout dans l’art contemporain ! ».
Ce sont deux grandes expositions qui s’enchaînent et il y a beaucoup d’oeuvres dans les 2. En bref, deux panoramas d’art contemporain à voir, l’un russe, l’autre américain.